Vertigo est un mot latin qui peut être synonyme de vertige. Vertige du pouvoir qui peut aspirer les êtres vers le haut mais aussi vers le bas, comme dans une spirale.
36 portraits d’hommes et de femmes, acteurs essentiels de l’arène politique française, amphithéâtre de toutes les passions. La politique se prête à cette dimension tragique, avec sa part d’irrationnel, de séduction, de trahisons, de solitude. Un travail photographique en couleur mené sur la durée, en collaboration avec le quotidien Le Monde, s’inscrivant dans l’actualité, mais riche d’une dimension historique et documentaire. C’est aussi une réflexion sur le pouvoir, sa représentation et la violence omniprésente qui domine la relation aux autres et à soi-même.
Des portraits psychologiques qui fouillent et cherchent à dévoiler la face cachée d’individus publics verrouillés médiatiquement. Un temps suspendu, cinématographique, qui met en scène des acteurs qui cultivent de plus en plus un rapport amour – haine avec les médias.
Vertigo is a Latin word that can be synonymous with vertigo. Vertigo of power that can suck beings upwards but also downwards, like in a spiral.
36 portraits of men and women, essential actors of the French political arena, amphitheater of all passions. Politics lends itself to this tragic dimension, with its share of irrationality, seduction, betrayals, and solitude.
A photographic work in color carried out over time, often in collaboration with the daily newspaper Le Monde, inscribing itself in the current events, but rich of a historical and documentary dimension. It is also a reflection on power, its representation, and the omnipresent violence that dominates the relationship to others and oneself.
Psychological portraits delve into and seek to reveal the hidden face of public individuals locked up by the media. A suspended, cinematographic time, which stages actors who cultivate more and more a love-hate relationship with the media.